On ne peut pas s’empêcher de penser que l’on a évité le pire. Cette fastidieuse nomination du premier ministre fut en quelque sorte un troisième tour, voire un quatrième si l’on compte les élections européennes du 9 juin ; elle confirme le rôle central du Rassemblement National : de paria en faiseur de rois en trois mois, poussé par 11 millions d’électeurs qui ont plébiscité l’union des droites et le changement de cap.

Les partis de gauche ficelés ensemble se sont verrouillés dans l’isolement. Parangons du cordon sanitaire à tout prix, leur intransigeance et leurs outrances les ont pris dans la nasse ; instigateurs et complices des infâmes désistements du 2^e tour des législatives, les voici à leur tour du mauvais côté du barrage.

Pour autant, la route tracée par Marine Le Pen et Jordan Bardella demeure exigeante : opposition constructive depuis 2022, le Rassemblement National continue à défendre notre vision de la France et les intérêts des Français, à Paris comme à Bruxelles (voir ‘Deux grands groupes parlementaires’ ci-dessous). Voter ce qui est bon, amender ce qui doit l’être et rejeter ce qui est néfaste, c’est un choix de responsabilité.

N’en déplaise à ceux qui veulent en découdre, le Rassemblement National ne porte pas le chaos dans nos institutions, il ne porte pas le chaos dans la rue. Si vous vous demandiez où sont passées vos voix, elles sont là ! Le Rassemblement National est, avec ses alliés de l’Union des droites pour la République (UDR) d’Éric Ciotti, et grâce à vous, en position de force.

Dans la 11^e circonscription des Français de l’étranger, vos suffrages nous ont propulsé de 3% aux élections législatives de 2022 à 15% aujourd’hui, en troisième place ; médaille de bronze certes mais sur le podium !

J’ai eu beaucoup de plaisir à échanger avec vous pendant cette campagne électorale éclair, unis aux quatre coins de notre immense circonscription comme jamais auparavant. Je vous l’ai promis et je tiendrai promesse : je vais dès que possible reprendre mes voyages et (re)venir à votre rencontre.

J’ai à cœur d’être, autant que je peux, votre « député sans mandat » ; dans cet esprit je vous propose de me contacter quand vous le souhaitez pour arranger un rendez-vous télephonique (voir ‘A votre écoute’ ci-dessous) : ce sera ma permanence pour vous. J’espère que cela vous sera utile.

Dans l’attente de vous parler ou de vous revoir, 

Retrouvez la vidéo de la rentrée politique de Marine Le Pen dimanche 8 septembre dans sa circonscription d’Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais.

Élu RN des Français de Thaïlande et de Birmanie et candidat suppléant de Pierre Brochet pour notre circonscription aux dernières élections législatives, j’ai pu, à ses côtés, y représenter une alliance de partis et de personnalités du camp national.

Cette union autour de nos principes, première du genre dans cette immense circonscription géographique qui fut celle de Thierry Mariani, a vu le score du Rassemblement National bondir de moins de 3% dans les deux précédentes consultations à plus de 15% dans celle-ci, offrant une troisième place tout à fait honorable à Pierre Brochet, arrivé par ailleurs en tête au premier tour dans plusieurs pays tels la Russie ou la Thaïlande.

Si ce score n’a malheureusement pas permis notre maintien au second tour, la participation y étant insuffisante pour atteindre le seuil des 12,5% des inscrits, la progression y fut pour autant significative.

La poussée de nos idées dans l’opinion générale française, confirmée notamment par les 32% obtenus nationalement aux Européennes de juin, mais surtout la forte dynamique créée par l’alliance avec les LR d’Éric Ciotti et le soutien de Marion Maréchal en ont assurément créé les conditions, en dépit de candidatures de diversion.

Nos résultats dans la 11e, comme ceux d’ailleurs des autres circonscriptions des Français de l’étranger lors de ce scrutin, confirment l’attente de nos électeurs d’une vraie union du camp national face à la gauche et à la Macronie. Il en ressort aussi que cette union des forces patriotiques ne peut et ne pourra se faire avec succès qu’autour du Rassemblement National, seule formation à porter l’espérance d’une candidature victorieuse à la future présidentielle et à offrir ainsi une issue électorale à nos idées.

En écho, il nous revient d’entendre les aspirations de nos électeurs, ainsi que de tous ceux susceptibles de devenir nos partenaires dans les prochains scrutins, en premier lieu pour les élections consulaires de 2026. La défense de l’identité nationale et son rayonnement dans le monde, l’attachement aux valeurs conservatrices face aux ravages du « progressisme » sont des combats essentiels pour nos compatriotes de l’étranger favorables aux idées nationales, rapportées bien souvent au concept d’ « union des droites » qui, pour beaucoup, en est la synthèse et l’aspiration.

Hors des tentations groupusculaires, le Rassemblement National se devra, pour eux, pour la patrie, ainsi que pour tous ceux qui s’en réclament et l’ont à cœur  loin de la terre de France, d’en être tant à la fois et dès à présent l’élément fédérateur et le fer de lance.

Nos députés à l’Assemblée nationale sont désormais au nombre de 126. Au Parlement européen, ce sont 30 (sur 81) députés français qui portent la voix du Rassemblement National. Ils étaient respectivement 89 à la suite des élections législatives de 2022 et 22 à la suite des élections européennes de 2019. En France, le Rassemblement National est le premier parti d’opposition. Au Parlement européen, le Rassemblement National siège au sein du nouveau groupe des “Patriotes pour l’Europe” présidé par Jordan Bardella et qui constitue la troisième force politique du Parlement avec 84 eurodéputés. Suivez les activités de nos députés en cliquant sur le lien suivant.